Moi après mois – Novembre 2022
J’ai survécu à novembre et c’était pourtant pas gagné ! Entre les semaines de travail interminables, les nuits trop courtes et le ciel bien gris, ce mois-ci était un véritable parcours de la combattante ! Mais heureusement, il y avait aussi de bien jolies journées/soirées prévues pour mettre un peu de lumière dans ce tunnel.
Allez les fleurir avant l’heure // Manger beaucoup trop // Retour en train dans une ambiance creepy en compagnie de La Maison hantée // Retrouver son âme d’enfant en marchant dans les feuilles // Écouter Daniel Pennac parler d’écriture et découvrir grâce à lui la poésie fantasque de Thomas Fersen // Passer la séance de cinéma à pleurer #Close // Hé bien ma grande, toute féministe que tu es, c’est toujours aussi difficile d’exprimer tes propres besoins // Convertir un nouvel auditeur aux Couilles sur la Table // Le retour de Mag La Bricole et ses bêtises ! // Opération barre de douche accomplie // Oh, une nouvelle plante ! // Je n’veux pas mourir ce soir, Je n’veux pas mourir // Déjà 3 jours de maux de tête en continu, les petits plaisirs d’être une femme // S’emmener en date au musée // Admirer le talent d’Isabelle Borgrave avec son exposition Mijadas de Mujeres // La pause automnale au Rouge-Cloitre en écoutant les bons conseils de Pascal Claude // Se perdre en forêt et craindre la tombée de la nuit // Se demander ce qui se cache derrière ses silences // Non, je ne suis toujours pas allée chez le médecin, question suivante ! // Se prendre une drache pendant la course du dimanche : heureusement que Buienradar avait dit qu’il ne pleuvrait pas ! #mensonge // Que faire de cet espace où je dis souvent des choses trop intimes ? // Les mots de Fanny pour en finir avec la rivalité féminine // Au revoir Irène et merci ! 🖤 💜 // La reprise va à nouveau être compliquée : ne serait-il pas temps de se poser les bonnes questions ?! // Crise de larmes en écoutant Louise Attaque // On a beau s’enfuir, On a beau partir, En fait de soi-même, on ne peut se désunir // Promenade sous la lune avec le musicien du BDC // La proposition de sortie inattendue à laquelle on ne peut que dire oui // Rose Lamy chez Tulitu 💜 // Être subjuguée par Manières d’être vivant // Sacrifier un peu de sommeil pour profiter un peu plus longtemps de sa chaleur // La perspective de plusieurs jours de soleil 🌞 // L’ennui // Double défection qui ne m’empêchera pas de profiter de ma Nuit ! // Passer la Nuit avec des écrivaines et écrivains qui inspirent // Les mots slamés de Marie Darah // Passion marcher dans la nuit bruxelloise // Débuter ce long week-end, en larmes, avec les mots de Lola Lafon // Osciller entre l’envie d’aller prendre le soleil et celle de rester blottie sous le plaid // Choisir un compromis en allant me balader en forêt avec l’entretien de Lola Lafon et Pascal Claude dans les oreilles // Partager ses livres annotés, c’est plus intime que de se mettre nu·e devant quelqu’un·e // Les hommes gèrent la fortune, les femmes gèrent la pauvreté // Finalement, pas de festival féministe pour moi : la STIB et l’univers m’envoient tous les signes pour que je n’y aille pas [et aussi les Doc Martens qui me retiennent de faire le trajet à pieds, j’avoue] // Au lieu de cela, profiter de l’or automnal au Bois // Un peu déçue par cet essai de Titiou : on en a sans doute trop dit chez Tulitu // Insomnie, tu ne m’avais pas manqué // Repasser sous les 100 et chasser la déprime en bouquinerie // Tellement fatiguée // Le froid et l’ennui // Pas de Jonathan Coe pour moi, la négociation a échoué // Le fantastique classique bien badass // Mercredi drama // Se laisser envoûter par les Résistances poétiques de Cyril Dion et Sébastien Hoog au 140 // Les discussions entre meufs autour d’un verre de vin et de quelques chips // Une St-V plutôt sage mais la joie de les retrouver // La déception de ne pas aller chez Pasta Divina vite rattrapée par la découverte de ce resto de ramen que je voulais essayer depuis des années // La photo traditionnelle sous la pluie de novembre, après la gaufre chaude de 22h // Être accueillie comme le Messie [ça a du bon d’accepter de travailler le samedi] // Finalement, pas de soirée cinéma non plus [ça empiète sévère sur les activités perso cette affaire !] // Terminer la journée par quelques bulles et gagner un bouquet de fleurs // Mode zombie affamé sous plaid activé // Grasse matinée plus que méritée // Petit déjeuner le nez dans les fleurs // La BD pas convaincante // Cette impression de vide qui ronge peu à peu le cœur et la tête // Chercher toutes les manières possibles de se réchauffer sans toucher à la vanne #ObjectifPremierDécembre // Cher corps, tu n’es pas encore rassasié des nuits blanches ?! // Départ précipité // Lundi gris // J’ai tellement peur que la nuit ne vienne pas // Placer un RDV avec M. dans mon agenda #joie // Hâte de voir arriver la fin de semaine // Reclaquer la porte du bureau, le badge resté caché à l’intérieur… #Oups // Mamie tricote tout en hivernant // Devoir courir pour les activités post-yoga… Et en éliminer tous les bienfaits // Décidément, ça devient une habitude d’être les seuls clients des restos qu’on fréquente // Cette impression d’avoir été placée sur écoute // Découvrir la gare maritime post installation de stand et regretter de ne pas y avoir prévu une petite soirée de récompense // Le SIEP ou le vendredi rock’n’roll // Faire preuve d’une autorité que je ne soupçonnais pas // Revoir une vieille amie // Samedi inattendu // Au fait, ce soir on sera environ une trentaine et yaura une flopée d’enfants… 😱 // Quand, visiblement, ta présence fait sensation #ModePaniqueEnclenché // S’enflammer sur la piste de danse malgré tout // Le Maitrank ne cogne pas que le cœur // Nouvelle nuit presque blanche // Réveil brumeux // Sécher la manifestation pour jouer les exploratrices // A la découverte du gros cron // Vous êtes vraiment sûrs que la piste va par là ? ça descend sec quand même… #vertige // Parcours d’obstacles dans les bois, au milieu des tirs des chasseurs // Mais non, tu n’as besoin de rien de spécial… Pour vrai, les chaussures de marche, ça aurait été utile quand même // Ce week-end ressemblait quand même pas mal à un bizutage… // Jauge de sociabilité totalement à plat // Les embouteillages du dimanche soir sur la E411, une chose immuable // Mourir, ce serait tout comprendre // Allez, la solitude est bonne et les hommes ne valent pas un regret // En retard pour publier sur le fantastique classique // Sympa cette petite réunion en mode tendu pour terminer l’année // Ma seule revendication, c’est de recevoir double dose de cougnous si je dois assurer la mise en place du petit-dej du boulot à 7h du matin, un 20 décembre #SyndicalisteEnCarton // Les jolies guirlandes // Bibliothèque sous surveillance // Le brouillard n’est pas que météorologique après cette nouvelle nuit sans sommeil // Cours de yoga en tête à tête : le retour au vinyasa qui décrasse bien ! // Douce soirée en tête à tête avec moi-même pour terminer novembre.
Les sons du mois : La frousse – Tout savoir
Sur une idée de Moka et de Fanny
Décembre, il ne reste plus que toi pour terminer cette année 2022 qui m’aura réservé bien des surprises !
3 commentaires
Ping :
mespagesversicolores
Ton mois de novembre fut encore très rempli.. Et les heures de sommeil où sont-elles ?
Maghily
Elles manquent clairement ! 😀
Mais là, j’ai décidé de calmer le jeu en décembre : je suis au bout du rouleau, je suis toujours pas remise de ma soirée de samedi. #mamie