Humeurs

Les sourires de la semaine #101

Salut !

On se retrouve cette semaine encore pour partager les sourires qui sont venus éclairer ma semaine. Celle-ci a été placée sous le signe du cocooning [beaucoup], du travail scolaire [un peu], de la lecture et de la gourmandise [beaucoup trop]. C’était les vacances mais faut bien avouer qu’on est assez peu sortis : papy et mamie étaient en mode “ya rien de mieux que la maison” une bonne partie de la semaine… Et je pense qu’avec tout ce qu’on a ingurgité, on doit au minimum avoir pris 10 kilos chacun.

  • Trouver [presque] chaque jour une bonne excuse pour boire un petit verre d’apéro.
  • Avoir un tout petit peu commencé à travailler sur mon mémoire [oui, il serait temps… chut !].
  • Etre invités chez la tata de l’Amoureux pour déguster plein de bonnes choses.
  • Allez faire les magasins pour se parer pour l’hiver… Revenir bredouilles côté vêtements*, mais avec plein de nouveaux livres [fallait bien justifier le déplacement… non ?]
  • Avoir enfin pris le temps de vider la cave, activité qu’on repoussait depuis pas loin d’un an… #warriors
  • Fêter Halloween avec une BD noire qui attendait depuis trop longtemps que je la sorte de ma bibliothèque.
  • Profiter du fait que les fruits commencent à “mal vieillir” pour se concocter des gourmandises, histoire de ne pas les jeter. Comment ça, tout les excuses sont bonnes ?
  • Se caler dans le canapé, chacun un livre entre les mains, un plaid sur les genoux et la pluie qui tambourine à la fenêtre.
  • Passer une très chouette soirée avec J. et D. autour d’un beau film (Au revoir là-haut) et d’une merveilleuse pizza.
  • Avoir enfin lu Mille soleils splendides de Khaled Hosseini, une petite perle.

Et vous, cette semaine ?!

*D’ailleurs, si vous avez des bons plans pour acheter des chaussures/vestes d’hiver qui soient véganes et réalisées de manière éthique, je suis preneuse ! A force de cumuler les principes éthiques, il devient bien difficile de faire du shopping [surtout quand on ne s’appelle pas Crésus – Oui, ça sent la frustration de l’ancienne serial shoppeuse contrariée.].

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